Le grand déballage

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ARCHIVES

août 2023

La maison de Letizia

À la maison du poète

janvier

Paolo Gasparini / Armand Gatti

Bibliothèque Armand Gatti, La Seyne-sur-Mer

février

mars

Armand Gatti, théâtre-utopie

Librairie Libertalia, Montreuil

Face au réalisme : hétérotopie ou utopie ?

Université Sorbonne Nouvelle - Campus Nation

Rencontre Gatti – Dardenne(s)

Conservatoire Royal, Liège (Belgique)

avril

L’Enclos d’Armand Gatti

La Cinémathèque de Toulouse

Armand Gatti à Toulouse

Librairie Ombre blanches , Toulouse

mai

Armand Gatti, théâtre-utopie

Librairie Oxymore, Port-Vendres

juin

Les mots et la poésie : Inventaire des formes

Lieu culturel La Guillotine / Les Pianos, Montreuil

Armand Gatti au 41e Marché de la Poésie

Place Saint-Sulpice, Paris-6e

juillet

Armand Gatti, 100 ans, 1924-2024

Maison Jean Vilar, Avignon

La voix qui nous parle n’a pas besoin de visage.

Librairie Ombres blanches, Toulouse

Les mots me lisent

Maison de la Poésie - Le Figuier Pourpre, Avignon

août

Le mot chien aboie-t-il ?

La maison du poète, Cerrina-Piancerreto (Italie)

L’ Année Gatti !

Maison de la Mémoire en Marche, Uzeste

Révolutions Gatti

Cabane du Gemmeur, Uzeste

septembre

Tentative expérimentale GATTI

Conservatoire Royal, Liège

Les Pigeons de la Grande Guerre

Galerie/Librairie d'Art Contemporain , SAINT-BENOÎT-DU-SAULT

Marathon de lecture du roman Bas-Relief pour un décapité

Bibliothèque Robert Desnos, Montreuil

Expérience/Projet

Hoftheater Kreuzberg, Berlin

Fête de l’Humanité

Bretigny-sur-orge / Le Plessis-Pâté

Donner quelques instant de plus a vivre …

Maison Armand Gatti, Montreuil

12 matricules pour raconter La Parole errante

Square Leopold Patriarche, Montreuil

Armand Gatti, théâtre-utopie

Bibliothèque Oscar Wilde, Paris

octobre

Armand Gatti, théâtre-utopie

Salle du Beffroi, Café Repaire à Vierzon

Armand Gatti 100 ans, 1924-2024

École Supérieure de Théâtre de l'Union (ÉSTU)

Armand Gatti, Théâtre-utopie

Cercle Gramsci, Limoges

« Gatti, l’in-venteur » par Michel Séonnet

Festival du livre de Mouans-Sartoux

« Scène imaginaire » autour d’Armand Gatti

Théâtre de la Ville Sarah-Bernhardt, Paris

Le Salon de la Revue

Halle des Blancs Manteaux, Paris

Armand Gatti : instants de vie

Halle des Blancs-manteaux, Paris

Armand Gatti au Palais de Tokyo

Palais de Tokyo, Paris

« Armand Gatti, présent ! »

Librairie Les journées suspendues, Nice

Roger Rouxel et L’Affiche rouge

LUX Scène nationale, Valence

Gatti à Genève, rencontre avec le CERN

Cinéma Bio, Genève / Carouge (suisse)

novembre

Éclats de mémoire

Maison de la culture de Seine-Saint-Denis, Bobigny

décembre

Armand Gatti, Théâtre-utopie

Librairie L’Œil Cacodylate, Lyon

Le grand déballage

La Parole errante Demain, Montreuil

Gatti au conservatoire royal

Conservatoire Royal, Liège

Bande des mots

Centre du patrimoine arménien, Valence

janvier

Le passage de l’Ebre

Cinéma "Le Méliès", Montreuil
La Parole errante Demain, Montreuil
Le grand déballage
Du mercredi 11 au mardi 17 décembre 2024

Pendant 25 ans, la Parole errante a tenté de partager avec les habitant.e.s de Montreuil (et plus généralement de Seine-Saint-Denis) une façon de questionner et de travailler issue du long compagnonnage avec et autour de l’écriture d’Armand Gatti (telle qu’elle s’est ramifiée en pièces de théâtre, en films, mais aussi en ateliers de sérigraphie, radio ou vidéo).
Ce partage s’est noué le plus souvent autour de figures ou de moments de l’histoire du XXe siècle : Kafka, Blanqui de « l’éternité par les astres », Mai 68, le groupe Manouchian, Rosa Luxemburg, la guerre 1914-1918…
Et il s’est réalisé avec de nombreux groupes et à travers de nombreuses réalités : des lycéen.nes et collégien.nes de Montreuil, des élèves d’une classe-relais et d’une Mission générale d’insertion, des associations, des bibliothèques, des détenus de la maison d’arrêt de Villepinte, des étudiant.es et des salarié.es de l’Université Paris 8, etc.
Ce travail d’ateliers a débouché sur des réalisations diverses : expositions, catalogues, affiches, films, journaux, productions sonores… Ici, ce sont essentiellement les traces sous formes d’affiches que nous déballons pendant une semaine dans la grande salle de la Parole errante, pour interroger ces tentatives d’être et de travailler « Avec ».
Seront également projetées en continu les vidéos intitulées « Qui je suis », réalisées avec les participant.es de différentes expériences emblématiques de ce travail au long cours. Chaque jour sera centré sur une « visite » de ce « grand déballage ». L’arrêt sur une série d’affiches mettra en lumière une période, une expérience ou un atelier particulier. Chaque visite sera ponctuée par une projection, une lecture ou une rencontre.

Entrée libre
La Parole errante Demain
9, rue François-Debergue – Montreuil

suppléments d’information

Mercredi 11 Décembre
18h : Ouverture du Grand Déballage, en présence de Stéphane Gatti. Des centaines d’affiches et de calques seront exposés. Comme nous l’avions déjà fait, sur une table, il y aura des affiches que les visiteurs pourront emporter.
19h : « Avec » des élèves de la Mission générale d’insertion
Projection du film « Cas par K » réalisé en 2006 dans le cadre d’un atelier mené au collège Fabien de Montreuil.

Jeudi 12 Décembre
16h : Ouverture de l’exposition.
Récit par Stéphane Gatti de l’expérience d’accueil d’une classe-relais à la Parole errante. En 2007, une enseignante de Montreuil s’est battue pour installer une classe-relais à La Parole errante. Pendant plusieurs années, les élèves considérés par l’institution scolaire comme « décrocheurs » vont participer à un atelier d’affiches.
20h30 : « Feuilles de Rage » par Nancy Huston et Jean-Philippe Gonot.
Lecture en musique autour d’Armand Gatti.

Samedi 14 Décembre
14h30 : Récit par Stéphane Gatti de l’expérience de l’atelier de sérigraphie mené à la Maison d’arrêt de Villepinte à partir de 1999.
15h30 : « Avec » les détenus de la prison de Fleury-Mérogis. Discussion avec Jemma Saïdi et projection d’extraits du film « Combats du jour et de la nuit à la Maison d’arrêt de Fleury-Mérogis » réalisé en 1989. Suivie d’une lecture d’extraits du premier roman inachevé d’Armand Gatti, « Bas relief pour un décapité » par Jemma Saïdi et Lyl Mapuche.

Dimanche 15 Décembre
15h : Récit par Stéphane Gatti de deux expériences menées autour de l’Affiche rouge et des fusillés du Mont Valérien.
La première en 1978 avec les habitants de l’Isle-d’Abeau qui sont conviés pendant un an à imaginer différents scénarii de films « pour donner quelques instants de plus à vivreà Rober Rouxel».
La deuxième au lycée de Jean Jaurès en 2003, où les élèves « primo-arrivant » d’une classe de la Mission générale d’insertion participent à un atelier de sérigraphie pour répondre à cette question : « Que faisons-nous là à réfléchir à l’Affiche Rouge au lycée Jean Jaurès en 2003 ? »
16h : « Avec » l’atelier d’écriture de la Guillotine. Lecture de textes issus d’un atelier d’écriture mené à l’occasion du centenaire d’Armand Gatti, sur le thème : « Donnez quelques instants de plus à vivre… »
17h : « Avec » les mots du groupe Manouchian. Projection du film La Première lettre (1978). Pour présenter aux  habitants de l’Isle-d’Abeau le groupe Manouchian et Roger Rouxel, l’équipe tourne un documentaire et rencontre Mélinée Manouchian, Arsène Tchakarian, Madame Elek et le petit frère de Marcel Rayman.

Lundi 16 Décembre
15h : Ouverture de l’exposition avec un invité « surprise »
18h : Récit par Stéphane Gatti de l’expérience menée en 1972 en Belgique dans le Brabant-Wallon.
20h : « Avec » les habitant.es, les paysan.es et les enfants du Brabant-Wallon.
Plateau radiophonique en direct autour des expériences de « La colonne Durruti » à Scharbeek et de « L’arche d’Adelin » dans le Brabant-Wallon.
Un petit groupe de travail a ouvert ces dernières semaines un travail de « fouilles » sur les traces des « expériences »  qui ont permis à Gatti et son équipe de penser une certaine pratique du collectif. La première à Bruxelles en 1971 : la tentative par 20 étudiants en théâtre de l’Institut des Arts de Diffusion de devenir une colonne libertaire en phase avec la colonne anarchiste de Buenaventura Durruti pendant la guerre d’Espagne.
La deuxième dans le Brabant-Wallon en Belgique en 1972 : la colonne étudiante s’installe en pleine campagne pour imaginer et créer ce que peut être une création loin des institutions culturelles.

Mardi 17 Décembre
15h : Ouverture.visite de l’exposition avec un invité « surprise »
18h : Récit par Stéphane Gatti de l’expérience menée en 1997 pendant neuf mois à Sarcelles, autour de la figure de Jean Cavaillès, mathématicien-résistant fusillé par les nazis.
Visuellement, l’expérience a pris une dimension particulière à cause de l’énorme exposition réalisée avec les participants, ainsi que « l’habillage » d’une barre d’immeubles désaffectée en inventaire de toutes les résistances.
19h : « Avec » la ville de Sarcelles, les loulous et des apprentis-comédiens. Discussion avec Olivier Derousseau, comédien lors de la création de la pièce écrite par Gatti « L’Inconnu n°5 du Fossé des fusillés du Pentagone d’Arras » et participant actif de cette expérience de neuf mois de travail dans la ville de Sarcelles.
20h : Projection du film « 4 chants de l’inconnu N°5 » et « L’Opéra supposé ». L’expérience de Sarcelles est particulière car elle a pris la dimension de la ville, notamment dans ces films où se croisent les loulous de Sarcelles, des apprentis-comédiens, l’orchestre de Sarcelles et le compositeur Jean-Paul Olive. On y voit aussi l’amorce d’un chantier d’écriture qui occupera Gatti pendant 10 ans, autour de la figure de Jean Cavaillès et des possibilités d’énoncés offerts par la physique quantique.

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Armand Gatti, Théâtre-utopie

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Le grand déballage

La Parole errante Demain, Montreuil

Gatti au conservatoire royal

Conservatoire Royal, Liège

Bande des mots

Centre du patrimoine arménien, Valence

janvier

Le passage de l’Ebre

Cinéma "Le Méliès", Montreuil

Cent ans / Armand Gatti

2024

Cent ans déjà que Armand Gatti est né. C’est passé vite. À l’occasion de cet anniversaire, nous comptons revenir sur les principaux moments de l’écriture d’Armand Gatti. 

Gatti journaliste
Son écriture commence avec le journalisme en 1945. Il a déjà été immigré pièmontais, maquisard, prisonnier, évadé, parachutiste SAS. À la fin de la guerre, il quitte Monaco pour se rendre à Paris et se fait embaucher au Parisien libéré.

On le colle aux chroniques judiciaires. Il fera tous les procès de la collaboration, ceux des massacres commis par l’armée allemande à Oradour-sur-Glane ainsi qu’à Bordeaux. Celui de la Gestapo de la rue de la Pompe. Peu à peu avec son ami Pierre Joffroy, il va imaginer un journalisme d’enquête. Sur la détention des prisonniers, les plus pauvres, ceux qui n’arriveront jamais à échapper au cercle de la pauvreté. Enquête sur les conditions de vie des Algériens en France. Chaque enquête devient un appel au gouvernement. Puis ils feront des enquêtes qui dépassent le cadre de la France, qui parcourent les camps d’Europe où se trouvent des réfugiés coincés dans des camps, cherchant désespérément à ne pas réintégrer leur pays d’origine. Ils feront aussi des enquêtes sur leurs amis artistes qui viennent de l’étranger découvrir et peut-être travailler à Paris (À nous deux Paris).

 La dernière enquête menée par Gatti sur les dresseurs de fauves intitulée Envoyé spécial dans la cage aux fauves lui vaudra le prix Albert Londres et le titre de Grand reporter, c’est le début d’une nouvelle vie.

Gatti Grand Reporter
Aprés le tour de France, commence un premier tour du monde. Son journal l’envoie au Guatemala rendre compte d’un putsch organisé par les Américains. L’assassinat de son guide Felipe le convaincra qu’il n’a plus sa place dans ce métier.

De retour, il commence à écrire des pièces de théâtre. Le crapaud-buffle sur un dictateur d’un pays imaginaire. Mais il continue son travail de Grand reporter en Sibérie d’abord puis en Chine (avec Chris Marker) puis en Corée. C’est l’époque où les délégations du monde entier sont invitées à visiter et comprendre la transformation de ces sociétés communistes. Ils traverseront toute la Sibérie, la Chine et la Corée où Gatti clôture son voyage par l’écriture d’un scénario pour le film Morambong.

Gatti écrivain des institutions théâtrales
Il fait encore quelques piges pour les journaux mais un nouveau tour du monde commence avec l’écriture théâtrale. Grâce à la photographe, Agnès Varda, grande amie de Jean Vilar, elle donnera à ce dernier la pièce de Gatti, Le crapaud buffle qui sera monté en 1960 à la salle Récamier. C’est le début d’une traversée fulgurante des scènes françaises où les pièces d’Armand Gatti, sont montées à Lyon, Marseille, Toulouse, St Etienne, Paris mais aussi en Allemagne. Tour à tour, le sujet de ses pièces se déplacent de la Chine, au Vietnam, à l’émigration italienne aux camps allemands. Il recevra le prix Fénéon pour sa pièce Le Poisson noir sur la Chine de Tsin.
En Septembre 68 , coup de gong : le gouvernement De Gaulle interdit la pièce, de Gatti La passion du général Franco.

Gatti interdit
Le tour du monde par l’écriture continue mais avec de nouvelles modalités.
Depuis quelques années déjà les pièces de Gatti, sont traduites et jouées en allemand. Même La passion du général Franco d’ailleurs avec succès. Après l’interdiction en France, il s’installe à Berlin pour écrire le poème Les personnages de théâtre meurent dans la rue : là il découvre la radicalité allemande. Il écrit une pièce La moitié du ciel et nous en solidarité avec Ulrike Meinhof détenue. Cette pièce marque la fin de l’épisode allemand , il ne sera plus invité …

Gatti Avec et déterritorialisé
Le tour du monde se continue avec une écriture déterritorialisée.
Après toutes ces interdictions, l’écriture théâtrale de Gatti ne se pense plus à partir des institutions de la scène. Avec le texte Petit manuel de guérilla urbaine, son écriture ne se pense plus dans un théâtre mais dans un nouveau dispositif : une salle d’hôpital ou dans une salle de classe pendant les cours. A cette déterritorialisation s’ajoute le fait que le texte est joué par ceux qui ont été témoin de l’écriture du texte. Une écriture pensée, rédigée, avançant en dialogue permanent avec ceux qui participent au travail. Ce grand chantier commencera en Belgique avec deux grandes expériences, : la première dans une usine de Schaerbeek sur La colonne Durruti. Et l’autre dans la campagne du Brabant wallon avec toujours les étudiants de l’IAD.
Non seulement c’est un travail avec… Mais un travail également complètement déterritorialisé. Depuis 1975, jusqu’à la fin de sa vie, il arrivera à tenir son écriture dans l’avec et la déterritorialisation radicale (disciple d’une certaine façon de Guattari et Deleuze).

Le dernier épisode de ces écritures, tout en gardant le même cadre de l’écriture avec et de la déterritorialisation se fixera sur le projet de construire une cathédrale à la Résistance. La clé du dispositif, le mathématicien résistant Jean Cavaillès et le réseau Cohors. Les lectures de Cavaillès vont peu à peu faire découvrir à Gatti la physique quantique et une pensée qui met à mal le déterminisme. Enfin ! Avec Cavaillés et la physique quantique, Armand Gatti arpentera Strabourg, Sarcelles, Ville Evrard, le Cern, Genève etc.…Texte après texte, il arpente cette cathédrale, certains diront ce projet éléphantesque et ils ont raison parce que les cathédrales ont souvent la forme d’éléphants

Les noms de Jean Cavaillés, de Rosa Luxembourg, des fusillés de Tarnac, de Sacco et Vanzetti, du groupe Manouchian, de Roger Rouxel, de Camilo Torres, de Michèle Firk, d’Ulrike Meinhof rappelle que depuis son premier livre Bas relief pour un décapité jusqu’aux derniers épisodes de la Traversée des langages, durant toute sa vie Armand Gatti n’a finalement défendu qu’une seule idée : donner aux martyrs et aux combattants quelques instants de plus à vivre, les libérer de la fusillade, de la chaise électrique et de la décapitation pour retrouver la puissance de leur conviction. SG

Itinéraire

à venir

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